miércoles, 19 de agosto de 2009

Chabert, un commentarie

Je viens de finir, pour la deuxième fois, la lecture du « Colonel Chabert ». Pendant les vacances d’été j’avais lu mon premier roman de Balzac, « Le Père Goriot ». Je trouve plusieurs sujets communs entre les deux œuvres.
D’abord la question du déclin de la vie et de la vieillesse. Les deux personnages, Chabert et Goriot, ont connu des temps meilleurs, mais la vieillesse les rencontre seuls, impuissants, pauvres, malades. Les deux sont self-made-men qui ont réussi et sont devenus riches. Pourtant ils ont tout perdu, mais tous le deux conservent leurs cœurs généreux et peut-être trop naïfs. On a parlé dans la classe que ce roman-ci s’agit de l’être et le paraître. Dans une certaine manière il a eu un peu d’intrigue par rapport a Goriot, aussitôt comme il y a de mystère par rapport a Chabert. L’identité et le respect son donnés ou niés par les autres.
En suite, Goriot et Chabert souffrent la misère à cause des femmes ingrates, qui n’ont pas hésité à les ruiner et qui les ont abandonnés dans leur désespoir en leur niant tout secours.
Les filles de Goriot et la femme de Chabert invoquent les sentiments, les plus chers, (l’amour, la famille, la tendresse), pour les tromper. La lecture de leurs tromperies, de leurs paroles de mauvaise fois, m’ont agacé. Le lecteur d’aujourd’hui ne peut accepter que un homme comme Chabert renonce à lutter, ou que Goriot meure dans la misère, en admettant volontiers être dupés. Les sentiments filiales, l’amour entre l’homme et la femme, seront réduits à des chants de sirènes, ayant pour but celui d'égarer les hommes de bonne foi.
Le Narrateur, dans les deux récits, à travers deux témoins différents, réagira, vers la fin du roman, en se plaignant de la cruauté des hommes, de la bourgeoisie, et de leur emblème : Paris, la cité qui encercle toutes les misères humaines sous une cape de glamour . Le regard du Narrateur sur l’homme est tout à fait pessimiste.
Un autre sujet commun est l’argent. L’argent et la convoitise aveuglent les hommes et elles empêchent de regarder les autres, sans importer quelques soient les liens.
Cependant j’ai trouvé un personnage qui agit comme il faut : Maître Derville, un bon avocat qui a aidé son client, qui s’est intéressé par sa personne et à son problème, qui lui a donné de bons conseils, qui a dessiné une stratégie parfaite pour réussir dans son cas, malheureusement gâté pour la habile manœuvre de Rose Chapotel et pour la générosité stupide et la incroyable naïveté de Chabert.

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